Les infrastructures vertes sont considérées comme des réponses aux impacts du changement climatique et aux effets de l’effondrement de la biodiversité. Les infrastructures à prendre en compte sont les parcs et jardins, les toits et murs végétalisés, les canopées urbaines, les continuités et corridors écologiques (haies, trames vertes, bleue, brune, noire), les mosaïques agricoles, les zones humides, les aires protégées et les couverts forestiers.

L’objectif du post-doctorat est de comprendre leurs interactions avec les facteurs physico-chimiques et biologiques en jeu dans les changements environnementaux en appréhendant, à terme, l’ensemble des infrastructures vertes à l’échelle régionale ou sous-régionale comme un système unique évoluant dans un contexte spatialement explicite : en l’occurrence le territoire francilien de l’hypercentre parisien aux zones rurales les moins anthropisées.